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Faure Gnassingbé menace la France par procuration : l’opération média d’Adjourouvi décodée

Envoyé spécial du dictateur sanguinaire et nazi Faure Gnassingbé, Pacôme Adjourouvi n’est pas monté sur les plateaux français pour défendre les intérêts du peuple togolais. Non. Derrière son masque faussement mesuré, il a transmis un message à peine voilé : une menace directe, un chantage diplomatique, un avertissement codé de la part du régime oppresseur.

Mais les journalistes français, bien informés sur la situation au Togo, ont préféré tourner en dérision cet individu qui se prétend avocat et homme de “juridiction”.

Ce qu’il voulait réellement dire :
“Laissez-nous écraser notre peuple ou nous saboterons vos ambassades à travers nos milices, recrutées dans les pays voisins et parmi notre propre jeunesse manipulée.”

Dans son intervention confuse et théâtrale, Pacôme Adjourouvi annonçait en réalité que la prochaine manifestation populaire au Togo — portée par des mouvements citoyens comme le M66 — risquait d’être infiltrée par les milices du régime, entraînées pour semer le chaos, s’attaquer aux ambassades et institutions françaises, et faire passer ces violences pour des actes de l’opposition. Ce scénario est tristement familier, à l’image des incendies des marchés de Lomé et de Kara.

L’objectif ? Délégitimer la colère du peuple togolais, faire croire à une insurrection incontrôlée, et contraindre la France à soutenir le régime, sous prétexte de préserver la “stabilité”.

Une stratégie digne des dictatures les plus cyniques

Ce genre de méthode, consistant à maquiller des crimes d’État en soulèvements populaires, n’a rien de nouveau. C’est une vieille recette du régime Gnassingbé : infiltrer, provoquer, réprimer, puis accuser les résistants. Sauf que cette fois, le message a été diffusé à l’international, sur les plateaux français, en pleine lumière — sans que personne ne s’en indigne.

Il est temps de tirer la sonnette d’alarme

L’opinion publique française doit comprendre que le Togo est pris en otage : entre un pouvoir militaire et mafieux d’un côté, et un peuple courageux qui lutte pour sa survie de l’autre. Si la France continue d’écouter des pantins comme Pacôme Adjourouvi, elle risque de devenir complice de violences préméditées, organisées, et couvertes par un régime dictatorial qui ne survit que par la peur et la manipulation.

Le peuple togolais ne tombera pas dans le piège

Le M66 et toutes les forces démocratiques doivent redoubler de vigilance. Le régime est prêt à tout : sacrifier des vies innocentes, manipuler des jeunes, et même déstabiliser des représentations diplomatiques pour rester au pouvoir.

Mais le monde doit savoir. Et surtout, la France ne pourra pas dire qu’elle ne savait pas.

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