Pacôme Adjourouvi est un menteur, un ministre voyou au service d’un régime sanguinaire
« Le mensonge peut courir un moment, mais la vérité finit toujours par le rattraper. »
Le passage télévisé de Pacôme Adjourouvi, ministre togolais des Droits de l’Homme au sein d’un régime dictatorial, sur France 24 avait un objectif limpide : redorer l’image ternie d’un pouvoir autoritaire en perte de crédibilité.
Mais face à l’œil impartial de la caméra, le discours soigneusement préparé s’est peu à peu effondré, dévoilant les contradictions profondes d’un régime aux abois, en quête désespérée de légitimité.
Non, monsieur le ministre, personne n’a appelé à s’en prendre à une ambassade.
Le comble de l’absurde est atteint lorsque Pacôme Adjourouvi accuse les Togolais d’avoir voulu attaquer l’ambassade de France.
Aucune preuve. Aucune image. Aucune déclaration. Rien.
Juste une manœuvre maladroite pour détourner l’attention, semer la peur et discréditer des revendications légitimes.
Personne n’a appelé à “casser” quoi que ce soit. Les manifestations sont l’expression d’une colère populaire contre l’injustice, la corruption et l’oppression.
Elles ne visent ni la France, ni ses institutions, mais votre système moribond. Et quand on n’a plus d’arguments, on invente des boucs émissaires.
Quand les ministres deviennent des voleurs de vérité
Il faut avoir le courage de le dire : certains ministres du régime de Faure Gnassingbé ont trahi leur serment.
Ils ne servent plus le peuple. Ils ne servent plus la vérité.
Ils ne sont que les gardiens d’un pouvoir illégitime, prêts à travestir la réalité, à manipuler les faits et à sacrifier l’éthique pour préserver leurs privilèges.
Et c’est là que réside le véritable danger : quand ceux censés défendre les Droits de l’Homme deviennent les complices de leur violation, alors la démocratie meurt à petit feu.
✊ Le peuple observe. Le peuple n’oublie pas.
Face à la caméra, les masques tombent. Et chaque Togolais voit désormais plus clair dans le théâtre macabre du pouvoir.
La vérité avance. Et elle finira par faire tomber le rideau.
