Vendu, aimé, infiltré : le vrai visage de Santrinos
Et si Santrinos n’était pas simplement un chanteur à voix douce, mais un pion parfaitement placé du régime ? À force de le voir dans toutes les sphères du pouvoir — ambassades, soirées privées avec Rodney Amorin, apparitions auprès de Yanick Gnassingbé — la question n’est plus saugrenue.
Et s’il était un espion du système ?
Ceux qui l’ont connu à ses débuts ne le reconnaissent plus. Venu de nulle part, mais désormais fourré dans les villas présidentielles et en compagnie intime de la fille du Dictateur Faure Gnassingbé, la petite sœur de Laurence, Santrinos ne cache plus son changement de cercle. Prochainement, nous publierons des images exclusives : elles parleront mieux que mille couplets.
Mais ce qui choque le plus, c’est son culot froid et stratégique. Un proche de Bobino (ancien camarade de route) nous confiait :
“Je pense qu’il a vendu son âme. Il est prêt à tout pour rester dans les bonnes grâces du pouvoir, quitte à vendre ses amis pour remplir ses poches.”
Et si Bobino avait raison depuis le début ?
Santrinos, aujourd’hui accusé par certains d’entretenir des relations intéressées, même intimes, avec des hommes puissants, ne nie rien. On évoque des deals souterrains, des soirées très privées, où l’artiste jouerait bien plus qu’un rôle de chanteur. Des rumeurs de relations homosexuelles opportunistes, toujours dans le but de s’ouvrir les bonnes portes.
Comment expliquer qu’un simple chanteur empoche 45 millions FCFA par an dans un contrat de téléphonie mobile, sans activité publique concrète dans ce domaine ?
Pourquoi cache-t-il ses sources de revenus réels ?
Et surtout, combien a-t-il dû sacrifier — ou livrer — pour arriver là où il est ?
Derrière le masque du lover, un profil de calculateur froid, maître dans l’art de manipuler les émotions pour grimper. Séduire, mentir, trahir, recommencer. Le tout avec un sourire et une chanson triste en fond sonore.
L’histoire ne fait que commencer. Le prochain chapitre risque de faire trembler les murs des ambassades.
